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Date de création : 05.10.2010
Dernière mise à jour :
13.10.2010
4 articles
La découverte incroyable d’un Tapir-Zèbre
Malaisie, Melacca – Une incroyable découverte à était faite dans ce fabuleux pays, juste là, ou ne nous l’attendions pas. L’apparition du premier Tapir-Zèbre à laissé place à beaucoup rumeur dans ce pays d’Asie du Sud. « C’est une première !! » nous confirme le très connu Vivian Mallotre, Zoologiste.
Par Julian Dupravi / Grand reporter
Depuis quelque mois déjà, est né à melacca, un Tapir avec une particularité génétique assez improbable. En effet, Baddi, ce petit tapir est arrivé au monde au mois d’aout avec la peau ressemblant à celle d’un zèbre. « Lorsque la maman de Baddi l’as mis au monde, je n’en ai pas cru mes yeux. Au début je pensé que j’étais victime d’une extrême fatigue. », nous déclare Mr Camara, le propriétaire de ces tapirs. « Il est vrai que la veille, j’avais travaillé comme un fou. Un de mes chevaux de labours était mort et j’ai du retourné mon champs avec le seul cheval de labours qu’il me resté ! » rajoute t-il.
« Pensant, ainsi que cela venait de ma fatigue, je n’y ai pas trop porté attention. Ce n’est qu’au lendemain de l’accouchement que j’ai réellement pris conscience que Baddi avais une particularité physique. » nous dit-il la larme à l’œil. « Je n’oublierais jamais ce jour ! ».
Baddi est donc devenu une curiosité locale qui fait beaucoup parlé les villageois. Les gens se demandent ce qu’il a bien pu arriver au Tapir de Mr Camara. Sachant qu’en plus, Mr Camara travaille dans une entreprise nucléaire dont nous tairons le nom sur demande de celle-ci, les spéculations allez bon train. Les villageois allez jusqu'à fuir le pauvre homme le croyant radioactif.
Après avoir discuté longuement avec Mr Camara, Nous sommes arrivez avec lui à un raisonnement logique qui pourrai expliquer cette particularité. « Il y avais, au mois juillet de l’année dernière, un de mes voisins qui s’était acheté un zèbre. Il était splendide et magnifique, il était fougueux et jeune » s’exclame t-il. « Un jour, je l’ai même retrouvé dans ma propre maison ! Je me rappel avoir eu extrêmement peur ce jour là ! Vous imaginez, un Zèbre en plein milieu de votre cuisine. Ça surprend ! » ajoute t-il.
« Je n’ose pas imaginé ce qui à pu ce produire ce jour là au vu de mon petit Baddi ! » s’interroge t-il. C’est une théorie que nous nous sommes empressé de diffusé dans ce village, cela permettra peu être à Mr Camara de retrouvé une vie sociale moins compliquée. « Dans tous les cas, dorénavant, je ne laisserai plus jamais seul mes tapirs, même pour allez au toilette. » affirme t-il. Une promesse qui risque d’être dur à tenir.
Le retour des oiseau-loups
Ils avaient disparu et les revoilà. C’est l’histoire ubuesque du retour des oiseau-loups.
Par Émile Grospiron / Grand reporter
Monsieur le Maire de Grolay, Sébastien Ménard, témoin privilégié de leur retour, n’en revient toujours pas : « C’est la pire chose qui pouvait m’arriver depuis mon opération des gencives. C’est un fléau, un désastre. Saloperie de piafs ! », s’emporte-t-il. En effet, les habitants de Grolay ont tous peine à le croire. Eux qui étaient déjà passés sous le feu des projecteurs en 1989 lorsque qu’une nuée de cette race d’oiseaux carnivores particulièrement rare avaient semé la panique dans leur commune. « Mais vous savez, ils sont affamés. Ils avaient dévoré mes posters de Franck Mickaël », se souvient Isabelle Troisleu, la secrétaire de direction de la mairie de Grolav.
Mais revenons à la genèse de ces événements surprenants en tâchant de comprendre ce que sont les oiseau-loups. Tous les scientifiques sont à ce sujet plus que dubitatifs… Certains affirment que ce qui ressemble à s’y méprendre au croisement entre un rouge-gorge et un « canis lupus », est à l’origine un accouplement malencontreux. D’autres évoquent un croisement réalisé par un apprenti-savant mal intentionné et certaines théories vont même jusqu’à faire état d’un décret secret émanant du ministère de la Santé dit « décret Douste-Blazy ». Celui-ci serait à l’origine de l’allocation de crédits visant à développer les recherches sur les apports de ces animaux pour la lutte contre le trafic de stupéfiant.
Toujours est-il que ces lointains descendant d’une ancienne race de dinausores, les archaeopteryx, font vivre un véritable claver à une région toute entière. Leur cible privilégiée : les doigts de pied. Rapide et précis, ils s’attaquent à leurs victimes en leur mordillant les doigts de pied parfois jusqu’au sang ! Fini les claquettes, sandales ou encore autres talons aiguilles qui laissent apparaître ces précieux bouts de chair. Ces oiseau-loups ne laisseront rien passer ! Pour leurs parts, les commerçants n’en démordent pas : « Ca fait plus 20% de chiffre d’affaire en à peine trois semaines ! », se réjouit Gilbert Logel, propriétaire de la boutique de chaussure C.le.panard de la ville voisine à Pitinou-en-Vexois.
Après les premières attaques, les autorités, prises de court, ont été obligées de réagir. Elles ont ainsi immédiatement créé une cellule de suivi de psychologique pour les victimes d’attaque de ces oiseau-loups. Un précieux soutient lorsqu’on est confronté à de pareils traumatismes. Basée dans les locaux du centre de détention pour mineurs de Jouffloy, à dix kilomètres à vol d’oiseau de Grolay, elle accueille les victimes du lundi au mercredi de 15h00 à 17h00.
On a retrouvé Timon et Pumba
Un de nos reporters a réussi, le mois dernier, à remettre la main sur deux personnalités qui ne désire plus être médiatisé. Ces personnalités sont Timon et Pumba, deux Stars du grand écran qui ne veulent plus entendre parler de la multinationale Disney.
Par Marcel Passod / Grand Reporter
C’est au mois d’aout que notre reporters à fait une incroyable découverte en parcourant le territoire de la Namibie en Afrique du Sud. Celui-ci faisait un grand reportage sur un sujet qui bouleverse cette partie de l’Afrique (Les femmes séropositives stérilisées de force) quand, tout à coup, il est retombé nez à nez, accompagné de l’un de ces collaborateurs, sur Timon et Pumba (Cf Photo jointe). Le plus extraordinaire, et nous n’avons pas cru nos oreilles, c’est que nous avons constaté que ces deux animaux étaient dans la capacité de pouvoir parler.
Après plusieurs jours de négociation, notre journaliste à réussi à obtenir une interview exclusive avec ces deux icones du grand écran. « Il est vrai qu’il a était difficile de parvenir à un accord, mais nous y sommes finalement parvenu » nous explique notre reporters. « La simple vu d’une dizaine de kilo d’insectes en tout genre les ont finalement décidé à nous accorder cette interviews » nous précise t-il. Inutile de vous dire que trouver tous ces insectes n’a pas était une tache facile pour nos reporters.
« Ce qu’il faut savoir, concernant la multinationale Disney, c’est qu’avant de mettre en place un dessin animée, il avait besoin d’acteur physique pour juger de la possibilité des choses. Ce qui sera ensuite retranscrit sur papier. Ils apprennent même à ces acteurs physiques à parler quand celle-ci ne le peuvent pas. Ce fut le cas pour nous et nous avons étaient embauché dans ce but ! » Proclame Pumba. « Après le tournage du Roi Lion 3, nous en avions marre ! Nous avons durant les trois volets de la Saga, toujours était considéré comme des acteurs de second plan. » Nous dit Timon. Pumba nous précise : « Même si nous avions quelque défaut, moi, mes problèmes de transit et Timon, son problème de taille, nous avons toujours fait bonne figure et joué nos scènes du mieux possible. »
Aujourd’hui, Timon et Pumba ne veulent plus entendre parler de la multinationale Disney qui à leur goût les ont roulé dans la farine. « Nous avons toujours était payés en vers de farine, alors que d’autre se payé la part de lion !! » nous dise nos deux acolytes, « Symba à toujours eu une meilleur rémunération que nous, une belle tranche de viande matin, midi et soir. »
Il est certain, au vu de ces dire, que Timon et Pumba ne tournerons plus jamais avec Disney. Ils étaient importants pour eux de faire un point et de s’exiler loin, très loin du « domaine des lions ». Ils ont décidé tout les deux de partir en Namibie pour s’éloigner de tous ces projecteurs et de la célébrité.
Cela leur permettra de se rapprocher de leur famille respective, car il est vrai que Timon et Pumba sont nés là-bas et se connaissent depuis tous petit ! Ils ont vécu une bonne partie de leur jeunesse en Namibie et sont tous deux comptant de ce retour aux sources.
Ils ont rapidement pris congés de nous afin de s’adonner à leurs passions respectives. Nous n’en saurons malheureusement pas plus.
Nous avant néanmoins une exclusivité à vous communiquer : il n’y aura pas de Roi Lion 4.
Les microbes ont aussi leurs toilettes
Il y a peu de temps, une chercheuse russe a trouvé par hasard que les microbes avaient, eux aussi, des besoins naturels à satisfaire et donc leurs propres toilettes.
Par Olivier Durado / Grand Reporter
C’est en mars 2010, qu’une chercheuse russe à réussi à faire une découverte incroyable ! En effet, c’est en établissant une thèse sur la diversité des microbes que la célèbre chercheuse Natalia Baranov à fait cette nouvelle découverte. « A première vu, je croyais que cette alvéole ressemblé à une variante dégénérative du microbe Neisseria meningitidis. » nous dit cette célèbre chercheuse, « mais je me suis aperçu, au final, que le clapet du dessus s’ouvré et se refermé ! ».
« Nous nous sommes donc relayé, mes collègues et moi, pendant plus de 4 mois derrière notre microscope ! Cette observation nous a permis de constater au final que, ce que l’on croyait être un microbe est en fait un toilette pour les microbes » Nous précise notre interlocutrice.
En effet, d’après le rapport dela chercheuse Natalia Baranov, la fréquence d’utilisation de ces toilettes est assez difficile à déterminer. La cause en ai que tous les microbes de même origine se ressemblent énormément. Néanmoins, après estimation de la population et du nombre de passage sur ces mêmes toilettes, les chercheurs estiment la fréquentation de celui-ci à 4 fois sur une semaine. La chercheuse précise que « Ce qui nous à permis de faire cette estimation et qu’il n’existe qu’un seul toilette par organismes porteur du microbe quel qu’il soit !!! »
Pour conclure, la célèbre chercheuse nous fait par de ces sentiments profond concernant cette découverte : « Etant jeune, j’ai toujours était fasciné par la découverte de toutes natures. J’ai commencé en dissèquent des fournies à l’âge de 7 ans, puis j’ai ensuite enchainé sur le chat du voisin lorsque j’ai eu mes 10 ans, …, je n’aurais jamais pensé un jour, au grand jamais, que je découvrirai un toilette pour microbe »
Une chose est sûre, concernant Natalia Baranov, c’est qu’elle est assurée d’avoir un prix Nobel pour cette grande découverte. Sans mauvais jeux de mots, je pense également que cela restera dans les anales dans le domaine de la recherche.